Avec : Jasko Fide, Noir So, Curved Marvin, Bishop Black
Comme le dit le proverbe, "les bonnes choses viennent par trois". Tel est l'esprit de la série Triptychon de HardWerk, dont le format s'inspire du triptyque classique et qui permet de voir le porno sous un nouvel angle, sans en perdre une miette.
Avec : Layla Viola, Bishop Black, Curved Marvin, Noir So, Rod Hardick
Un toast à la baise ! Une autre soirée, un autre groupe d'hommes prétentieux pris dans leurs propres opinions pompeuses, une autre conversation ennuyeuse sur les chaussettes en soie... Que doit faire une fille pour trouver un peu d'excitation par ici ?
Avec : Serafina Sky, Noir So, Roman Raw
Pour Serafina Sky, Noir So et Roman Raw, ce qui commençait comme une promenade buccolique dans le Tyrole se termine en plan à trois à la fois passionné et très intense.
Avec : Anna B, Fox Dalliance, Noir So
Vous pensiez avoir déjà vu un plan à trois? Hardwerk vous en propose une nouvelle version. Anna B est une professeur de Yoga réputée. Lorsque 2 spécialistes viennent la voir pour réparer sa télé, elle va leur montrer qu'elle a bien d'autres choses à enseigner.
Avec : Sulema Vasquez, Noir So, Fox Dalliance, Curved Marvin, Ron Hades
Pour le 3ème volet de sa série Triptychon, Hardwerk vous propose de découvrir le tout premier gang bang de la charmante Sulema Vasquez. Découvrez un mélange de tendresse et de sexe très intense.
Avec : Neen Sever, Bishop Black, Dante Dionys, Noir So, Rod Hardick, Fox Dalliance
Le troisième volet de la série hybride gang bang/interview de HardWerk, Ask Me, est plus qu'une invitation, c'est une provocation : demandez-moi, défiez-moi, exposez-moi, faites-moi.
Avec : Maria Riot, Bishop Black, Rod Hardick, Hunter S Johnson, Kinky Panda, Noir So
Inspiré par les films de sexploitation de Russ Meyers et le film Blow Up (1966) de Michelangelo Antonioni, le dernier gang bang de HardWerk est une subversion lente des tropes cinématographiques qui trouve le charnel dans le camp et le somptueux dans le sordide. Pour son tout premier gang bang, Maria Riot et les réalisateurs ont réimaginé la figure du photographe autoritaire (et généralement masculin) avec un changement bien nécessaire sur l'axe du genre, permettant ainsi à Maria de prendre les devants en mettant littéralement en scène son propre fantasme. Ici, la frontière entre l'objet, le sujet et l'artiste peut devenir floue ; les hommes, dans tout leur machisme exagéré, peuvent devenir des jouets avides, et la directive ne peut rester lettre morte : regardez-moi.